Ce qu’on appelle œufs de seiche, n’en sont pas, ce sont des
gonades, telles que celles de la recette de l’Obsédé
culinaire notoire, par exemple.
La francesa a déjà écrit un http://lafrancesaauxfourneaux.blogspot.pt/2011/08/petit-catalogue-des-curiosites.html
billet au sujet des œufs de seiche.
Comme toujours la Francesa écrit comme une encyclopédie et
parmi d’autres, un de nos points communs est d’éviter à tout prix de dire des
« conneries » ;
Après avoir disséqué un calmar et en avoir parlé dans mon
billet sur les deux
caviars cette fois j’ai attaqué la seiche.
Je ne vous dis pas l’état des murs et de mes doigts, par
chance mes vêtements ont échappé à l’encre qui giclait de partout.
Après tout ce carnage dans la cuisine et avoir cuisiné la
seiche, il me restait les gonades.
Ce n’est pas grand-chose…
J’ai suivi les conseils de la francesa en les sautant tout
simplement dans de l’huile d’olive avec une gousse d’ail.
Comment les présenter ?
Je venais d’aller cueillir du fenouil sauvage tout près de
chez nous (je ne suis pas certaine que ça en soit d’ailleurs) pour les
papillotes de moules de demain, ce qui a donné un joli fond d’assiette.
Et de chez mon ami JP Brigand, dans le tiroir du frigo j’ai
retrouvé un limequat pour l’y déposer.
J’ai fait la photo.
Et puis, j’ai pris
cet objet précieux du bout de la fourchette, j’ai fait un vœu (comme chaque
fois que je mange quelque chose pour la première fois), j’ai ouvert grand la
bouche, j’ai fermé les yeux et je l’ai dégusté avec attention
Résultat : selon mon point de vue la consistance
est molle, le goût pour ainsi dire inexistant sauf effectivement une touche
d’iode en cherchant beaucoup.
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